En bas, l'herbe pousse
En moi tout se disperse et s'évanouit.

Colmuri

Tapis gris

Paques 2.012

Joyeuses Paques 2012.

...J'accepte joyeusement ma condition...

La vie est une drôle d'aventure. Est-on libre de choisir sa façon de faire ? Au début, on a toutes ses facultés qui se dissolvent peu à peu. La volonté est précieuse, mais tous ne l’ont pas pareillement.
La vie est un mystère. La foi aide-t-elle à vivre ? Tous arrivent au même point, avec de petits plaisir, de petits bonheurs, de petites satisfactions.
Certains ont plus de pépins que d’autres. Certains sont plus gâtés par la destinée : pourquoi ?
L’amour, c’est la vraie vie.
L’amour qu’on suppose outre-tombe, qui se prolonge ailleurs…
Nous sommes des ignorants et des rachetés.
Colmuri, Février 2012

Quand la vie vous dit oui, c'est qu'elle vous sourit.
Mais sachez bien que la vie vous dit oui, que si vous en
avez réellement envie.

L'instant qui vient peut être celui de votre mort et vous pouvez sourire. N'est-ce pas admirable ?

Sartre.

C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents.

Dans la plus insignifiante de vos actions il y a une immensité d'héroisme

Le Beau

Apporte la plus haute révélation que le Divin soit permis de connaître.

"Anatole. France."

"De gaieté en gaieté, j'ai contrefais ma joie. De tristesse en tristesse, j'ai camouflé ma peine. De saison en saison, j'ai galvaudé le temps, de silence en silence, j'ai parlé sans rien dire."

Gandhi.

La règle d'or de la conduite est
la tolérance mutuelle, car nous ne
penserons jamais tous de la même
façon, nous ne verrons qu'une
partie de la Vérité, et sous des
angles différents.





















angles différents.

Gaieté sans illusions.

Qu'on me rende impotant, cul-de-jatte, goutteux,manchot, pourvu qu'en somme je vive, c'est assez, je suis plus que content. Ne viens jamais ô mort, on t'en dit tout autant.

La Fontaine.

Quand j'ai rien à faire, et qu'à peine un nuage dans les champs bleus du ciel, flocon de laine nage, j'aime à m'écouter vivre, et libre de soucis, loin des chemins poudreux, à demeurer assis là, pour tuer le temps, j'observe la Fourmi.

Andrée Chedid (Poète)

A force de m'écrire, je me découvre un peu, je cherche l'autre. J'aperçois au loin, la femme que j'ai été. Je discerne ses gestes, je glisse sur ses défauts. Je pénètre à l'intérieur d'une conscience évanouie. J'explore son regard comme ses nuits. Je dépiste et dénude un ciel, sans réponse et sans voix. Je parcours d'autres domaines, j'invente mon langage, et m'évade en poésie. Retombée sur ma terre, j'y répète à voix basse inventions et souvenirs. A force de m'écrire, je me découvre un peu, et je retrouve l'Autre.

Le rire est le propre de l'homme et de la femme.

Pourrions-nous rire plus souvent ?

Certitude ?

solitude est toujours habitée.

"Une table, deux ou trois chaises, un pain dans le fond d'une armoire, un bol où il buvait à l'aise, un couteau, un crucifix noir, c'était là toute sa fortune. Mais sous le velourds de la lune, qui tapissait tout son réduit, le Monde entier était à lui."

Les Fastes de Venise

Garouste.

Les Mains, combien font-elles de gestes, dans une vie ?

L'histoire était bien triste, mais nous n'y n'y portions attention.

Proust

"Soyons reconnaissants aux personnes qui nous donnent du bonheur ;

elles sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries."

M. Proust

Méditation.

Je me remets sur le chemin...

G. de Nerval.

Oh ! ces feux du couchant, vermeils,capricieux montent comme un chemin splendide, vers les cieux. Il semble que Dieu dise à mon âme souffrante : quitte ce monde impur, la foule indifférente. Suis d'un pas assuré cette route qui luit, et viens à moi mon Fils.... et n'attends pas la Nuit.

A. France

La vieillesse qui est une déchéance
pour les hommes ordinaires est, pour les hommes de génie une apothéose.

S. Prudhomme.

Le présent n'est qu'un feu de joie, qui s'écroule à peine amassé.

Sur le chemin.

"

"Que voyait-il au fond du pré, ce boeuf qui restait là figé ? a regarder halluciné, un buisson d'églantiers ?Il n'y avait pas un oiseau, pas l'ombre d'un nuage, pas de vent, qui sur les coteaux, eût fait trembler un seul branchage. Que voyait-il, que nul ici ne pouvait même deviner, pour demeurer halluciné devant ce buisson d'églantiers."

Raphaël.

"L'Invisible est réel. Les Âmes ont leur monde."

Le cycle.

Ainsi va le monde ici-bas. Le temps emporte sur son aile, et le printemps et l'hirondelle ,et la Vie de tous les jours.

A.de Musset.

Le temps de l'enfance.

" L'enfant marche joyeux , sans songer au chemin ; il le croit infini, n'en voyant pas la fin. "

Toussaint.

Les défauts de nos morts se fanent, leurs qualités fleurissent, leurs vertus éclatent dans le jardin de nos souvenirs.

Jules Renard.

Louis Toffoli. Maternité.

L' Homme a toujours besoin de caresses et d'amour. Sa mère l'en abreuve alors qu'il vient au jour.

Alfred de Vigny.

T. Monod

Le peu qu'on peut faire, le très peu qu'on peut faire, il faut le faire, pour l'honneur, mais sans illusion.

M. Brodowicz

De mes jours d'Automne je savoure la douceur, léguant aux souvenirs la Vie et ses bonheurs.

Jules Renard (1892)

Aujourdui : Tête en ciment, cervelle en plâtre, pas pu écrire une seule ligne.

Qui tient les ficelles ?

Sommes-nous manipulés?

J.M. de Hérédia (1842-1905)

Le soleil sous la mer, mystérieuse aurore, éclaire la forêt des coraux abyssins qui mèle aux profondeurs de ses tristes bassins, la bête épanouie et la vivante flore.

Et tout ce que le sel ou l'iode colore : mousse, algues chevelues, anémones , oursins, couvre de pourpre sombre en somptueux dessins, le fond vermiculé du pâle madrépore.

Proverbe Chinois.

Quand on achète une maison , on regarde les poutres ; quand on prend une femme, il faut regarder la Mère.

Nous aussi, avons une famille.

Quelques cousins pas trop éloignés !

Charles IV d'Espagne,son épouse Marie-Louise et leurs nombreux enfants.

Nous avons formé une grande famille.Viendra le printemps sous le soleil qui brille, toutes nos pensées iront vers l'ancien foyer, puisqu'il est écrit qu'on ne peut l'oublier.

J. Peytavi.

Goya.

Avant l'orage.

Il n'y a qu'un chemin pour le bonheur c'est de cesser de se tracasser pour les choses qui ne dépendent pas de notre volonté.

Epictète.

Unir sa destinée : le plus beau jour de sa vie.

Amour, quand tu nous tient......

Bonheur, douceur, inquiétudes.

Toutes les mamans du Monde,

de tous les temps.

Perfection ?

"Euphosyne : la Joie, l'allégresse. Thalie : l'Abondance.
Aglaé : la Beauté.
Ensemble, elles personnifient la Vie festive."

Prévert et Chirico.

on a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller.

Lamartine.

Ô famille ! ô mystère ! ô cour de la nature ! où l'amour dilaté dans toute créature se resserre en foyer pour couver les berceaux.