mardi 8 novembre 2011

G. de Nerval.




Oh ! ces feux du couchant, vermeils,capricieux montent comme un chemin splendide, vers les cieux. Il semble que Dieu dise à mon âme souffrante : quitte ce monde impur, la foule indifférente. Suis d'un pas assuré cette route qui luit, et viens à moi mon Fils.... et n'attends pas la Nuit.

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