mercredi 27 juillet 2011

R.M.Rilke




Arrêtons nous un peu, causons. C'est encore moi, ce soir qui m'arrête. C'est encore vous qui m'écoutez. Un peu plus tard, d'autres joueront aux voisins sur la route, sous ces beaux arbres que l'on se prête.

1 commentaire:

  1. Y a-t-il un banc quelque part sous les glycines ? Nous pourrions bavarder en respirant les senteurs de ces magnifiques fleurs...

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