vendredi 3 juin 2011

G. de Nerval.



O! ces feux du couchant, vermeils, capricieux montent , comme un chemin spendide, vers les cieux. Il semble que Dieu dise à mon Âme souffrante : quitte le monde impur, la foule indifférente. Suis d'un pas assuré cette route qui luit, et, viens à moi, mon fils...n'attends pas la nuit.

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