
J'ai pour voisin un compagnon un vaste et puissant paysage qui chante et luit comme un visage devant le seuil de ma maison et, je lui dis des choses tendres et profondes avec mon coeur les soirs, quand la clarté se meurt et que seul il peut m'entendre.
E.Verhaeren (1855)
texte tout à fait adéquat !
RépondreSupprimerEternelle complicité entre l'homme et la nature.
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