
Ô Salvador Dali à la voix olivée ! Je ne vante pas ton imparfait pinceau adolescent, ni ta couleur qui courtise la couleur de ton temps. Je chante ton angoisse, ô limite, limite éternelle ! Le courant du temps s'apaise et s'ordonne dans les formes numériques d'un siècle et d'un autre. La Mort vaincue se réfugie en tremblant dans le cercle étroit de la minute présente.
Parfaite association entre le texte et l'image !
RépondreSupprimer