
La Cigale est ta proie, Hirondelle inhumaine, et nourrit tes petits qui, débiles encor nus, tremblants, dans les airs n'osent prendre l'essort. Tu voles : comme toi la Cigale a des ailes. Tu chantes : elle chante. A vos chansons fidèles le moissonneur s'égaye, et l'automne orageux en des climats lointains vous chasse toutes deux. Oses-tu donc porter dans ta cruelle joie, à ton nid, sans pitié cette innocente proie ?
Et la cigale, que mange-t-elle ?
RépondreSupprimerDes vermisseaux, je crois...
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