La Nuit meurt, l'hiver fuit.
Maintenant la lumière dans les champs, dans les bois, est partout
la première.
Je suis par le printemps vaguement
attendri.
Avril est un enfant, frêle, charmant,
fleuri ;
Je sens devant l'enfance et devant le zéphyre
je ne sais quel besoin de pleurer
et de rire.
V.H
L'explosion du printemps !
RépondreSupprimerOui Patience ! car le printemps se fait attendre...il nous faudra affronter certainement encore quelques giboulées.
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