mardi 30 novembre 2010

Louise Labé poétesse de la Renaissance.


Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
J'ai chaud extrême en endurant froidure :
La Vie m'est et trop molle et trop dure.
J'ai grands ennuis entremélés de Joie.
La sculpture n'est pas L.B

1 commentaire:

  1. "Je vis, je meurs : je me brule et me noye.
    J'ay chaut estreme en endurant froidure :
    La vie m'est et trop molle et trop dure.
    J'ay grans ennuis entremeslez de joye"

    Puissance de l'amour...au XVI e siècle !

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