dimanche 28 novembre 2010

G. de Nerval.


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Mon doux pays des Espagnes. Qui voudrait fuir ton beau ciel ?
Tes cités, tes montagnes et ton printemps
éternel.
Autrefois ta souveraine,
l'Arabie, en te fuyant,laissa sur ton front de reine, sa couronne d'Orient.
Un écho redit encore
à ton rivage enchanté
l'antique refrain du Maure :
Gloire, amour et liberté.

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